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fiche prez tl
Léo N. Abberline
Léo N. Abberline
icone : fiche prez tl KDFpUwm
Upgrades : — Programme pirate
— Prothèses de combat
— Propulseurs
Inventaire : — Tabac, feuilles, cartons
— Un pochon de beuh
— Les clés de sa Golf GTI
— Un portefeuille troué
— Quelques pièces
— Un téléphone portable
DC : apolonia + belladonna + wade + jewell
Trigger Warning : /////
Pronoms : she/her
Faceclaim : Ivan Krasny — The Red King ; Andy Biersack
Occupation : vendeur dans un fast-food + dealer
Popularité : 150000
Messages : 130
Date d'inscription : 20/09/2015
Age : 23
Léo N. Abberline
Mer 12 Avr - 20:48
@MISFIT
https://ftyogi2.kanak.fr


@pinktroubles_
identité
Nom: Chapman
Prénom: Effy Victoria
Âge: 19 ans
Date de naissance: 17/01/2028
Origine(s): Anglaise, née à Lumopolis
Genre: Femme cis
Or. sexuelle: Hétérosexuelle
Groupe: Watchers
Métier: Etudiante en droit & Barmaid à mi-temps
Faceclaim: Genshin Impact - Yae Miko



MENTAL

Souriante ; Intelligente ; Vénale ; Débrouillarde ; Bourreau de travail ; Sociable ; Obstinée ; Impulsive ; Jalouse ; Sérieuse ; Dépendante ; Organisée ; Compétitive ; Confiante ; Maladroite

Effy, c’est d’abord un cliché. Celui de la femme parfaite, douce, docile, charmante, souriante, un peu gaffeuse. Celui de la femme trophée, belle, attirée par les beaux objets, se souciant un peu trop de sa toilette, dépensant des sommes folles en robes, bijoux et maquillages pour être toujours bien apprêtée. C’en est presque difficile de l’apprécier, tant elle rentre si bien dans le moule de ce que la société mondaine désire. Une femme-objet, agréable à regarder et qui ne fera pas trop tâche, ne prendre pas de place et saura se taire.

Il suffit de gratter un peu sous la surface pour se rendre compte de tout ce qu’est Effy en réalité. Tout ce qu’elle ne montre pas de prime abord. Sa passion pour l’organisation, ses dizaines de to-do lists pour chaque journée, chaque semaine, chaque mois, chaque année ; son avidité pour la connaissance, passant par des lectures par centaines dans sa bibliothèque, sur tous les sujets possibles et imaginables, son sérieux dans ses études, son écoute attentive à tout ce qui se passe autour d’elle, si jamais elle captait un secret ; sa détermination, que l’on pourrait qualifier d’obstination dès lors qu’elle a une idée en tête ; sa jalousie, sans commune mesure, lorsqu’elle observe les mieux lotis s’en sortir sans lever le petit doigt, alors que le commun des mortels doit se défendre becs et ongles, pour se faire une place dans ce monde ; son penchant prononcé pour la compétition, sa façon de jubiler en sachant qu’elle sort première de sa promo, sa tendance à accepter les paris un peu trop facilement, pour le plaisir du jeu mais, surtout, pour le plaisir de gagner.

Effy, c’est aussi une femme blessée. Blessée par l’absence de ses parents, qui n’ont jamais été très présents. Blessée d’avoir été élevée par une androïde et une grand-mère aux idées particulièrement tranchées. Alors, lorsqu’elle rencontre quelqu’un avec qui elle s’entend bien, Effy s’accroche. Un peu trop vite, un peu trop fort. Elle se fait des films, elle s’imagine que le prince charmant va la trouver, l’emmener sur son cheval blanc et la sortir de cet enfer. La sortir de cette famille déstructurée, dont elle n’arrive pas à se détacher. La sortir de ce monde où des gens sont tellement désespérés qu’ils acceptent des défis de la part d’inconnus, pour simplement obtenir un peu plus d’argent ou de célébrité.

Mais Effy ne s’en sort pas. Effy s’accroche. Et gare à ceux qui se mettraient en travers de sa route, du chemin qu’elle a elle-même tracé. Effy ne le laissera pas s’en aller ainsi.

UPGRADES
— Ouïe superdéveloppée
— Oubli (Permet d'effacer la mémoire récente – sur cinq minutes – en piratant une puce proche d'elle)                          

INVENTAIRE
— Petite trousse de maquillage
— Une fleur d'hortensia séchée

Connaissance de
D-VICE: Oui – est devenue récemment Watcher

Bois très peu et n’a jamais consommé de drogue ; Considère son corps comme un temple ; Aime les paris, tant qu’elle est certaine de gagner ; A prit des cours de self-defense ; S’endort encore avec un doudou dans les bras ; Ne supporte par les injustices ; Plutôt mauvaise perdante ; Sa relation avec ses parents se limite à aller les voir pour se plaindre et ressortir avec une nouvelle babiole ou un virement sur son compte ; Ne veut pas savoir ce qu’ils ont dû faire pour avoir une belle place dans la corpo Lefort ; Rêve d’adopter un Golder Retriever ; Préfère le salé au sucré ; Mais vendrait son âme pour un chocolat chaud ; S’est jurée de ne jamais travailler pour une corporation ; Toujours impeccable jusqu’au bout des ongles



IRL
Pseudo: Luhvyna / Elodie
Disponibilité: Beaucoup en ce moment
Triggers Warnings: Pas à ma connaissance
RP [+18] (violence, sexe, sang...) ?: Tout est faisable, tant que c'est discuté entre joueurs !



HISTOIRE

« N’oublie jamais, ma petite, qu’une femme n’est intelligente que tant qu’elle ne le montre pas. Profite de ta beauté. Fais tourner les têtes. Laisse-les penser que tu es sotte. Attire dans tes filets un bon parti et maries-toi avec. Mais ne cesse jamais de t’instruire. Car lorsque tu te faneras ; et crois-moi, tu te faneras ; il te faudra un peu de jugeotte pour le garder. Ou t’en débarrasser sans perdre tout ce que tu auras durement acquis. La pauvreté est une punition cruelle et je m’assurerai que tu n’aies jamais à la subir. » – Vicky Hornett

Dire qu’Effy était une enfant désirée serait un doux euphémisme. Plusieurs grossesses n’ayant jamais atteint leur terme, une proposition de la part de Vicky de « prêter » un de ses ovules pour que sa chère fille puisse enfin lui offrir une descendance, quelques doutes – puis un refus – et finalement, une mère porteuse plus tard, Effy était née.

Pourtant, difficile de dire qu’Effy intéressa réellement ses parents, jusqu’à son adolescence. Le travail dans une corporation étant particulièrement prenant, la petite fille fut confiée soit à sa grand-mère, lorsqu’elle était présente sur le sol américain, soit à une androïde nounou. La petite fille passa donc ses premières années à écouter les conseils plus ou moins avisés de Vicky et à trouver du réconfort dans les bras de Miss Joann parce que ses parents n’avaient pas le temps de lui lire une histoire pour s’endormir ou n’étaient même tout simplement pas encore rentrés alors qu’il était déjà l’heure de se coucher.

Effy fut néanmoins une enfant particulièrement sage et docile. Buvant les paroles de sa grand-mère maternelle, ce fut à ses sept ans qu’elle décida qu’elle épouserait un avocat, un médecin, ou en tout cas, un homme qui aurait les moyens de la traiter comme une véritable princesse, de lui offrir toutes les robes qu’elle souhaiterait, qui la couvrirait de bonbons et lui permettrait de s’acheter au moins autant de maquillage que Vicky et une coiffeuse encore plus grande pour tout ranger. Jezabel et Nikolas échangèrent un regard lourd de sous-entendus le soir où leur fille leur détailla son plan pour se faire un riche mari et ne manquer de rien plus tard. Il fut décidé qu’elle irait un peu moins chez sa grand-mère. Ce ne fut pas réellement le cas.

Deux ans plus tard, Miss Joann dû être envoyée en réparation après s’être mise soudainement à proférer des paroles indignes d’une androïde nounou – elle s’était mise à jurer sans raisons et à distribuer des menaces. Effy eut son premier vrai chagrin lorsqu’on lui annonça qu’elle ne reviendrait peut-être pas. Sa mère redoubla d’efforts dans son travail pour lui offrir sa première upgrade personnalisée. Après deux semaines d’acharnement, ponctuées de nuits blanches, Effy fut désormais capable de manipuler la mémoire récente – sur les cinq dernières minutes – de n’importe qui. La petite fille se mit à user et abuser de son augmentation, au gré de ses envies, pour faire oublier ses bêtises, dire des gros mots sans se faire prendre, révéler des secrets puis les faire aussitôt disparaître. La petite fille apprit alors une leçon qui lui servirait jusqu’à ce qu’elle quitte le nid ; ces parents n’étaient décidément pas doués pour les démonstrations d’affections et elle aurait une nouvelle babiole chaque fois qu’elle serait peinée.

Elle avait dix ans lorsqu’elle se fit une promesse solennelle, à elle-même, devant le miroir de sa salle de bain, un soir de pleine Lune. Ainsi que le disait Vicky, le pouvoir ne résidait pas uniquement en l’argent. Il ouvrait, certes, bien des portes mais la connaissance, c’était là, la véritable toute-puissance. Alors elle se fit la promesse de ne jamais cesser d’apprendre. Que cela soit dans les livres, les secrets des gens qu’elle connaissait, en travaillant à l’école. Elle deviendrait un véritable puits de savoir, pour que rien ne puisse jamais l’arrêter. Ce fut à peu près à ce moment-là que Vicky instaura une nouvelle règle dans leur relation.  

« Je me fiche bien de savoir pourquoi ces yeux mouillés et cet air désespéré, ma petite. Tu sais très bien ce que je veux savoir, si tu souhaites avoir mon attention. Alors, quelle est la dernière chose que tu as apprise ? » – Vicky Hornett

L’adolescence fit bien vite son entrée dans la vie d’Effy, avec effusions d’hormones et remise en question de l’autorité parentale. Loin d’être une véritable plaie, la jeune fille se montra un peu plus turbulente et ne manqua pas de faire quelques bêtises de jeunesse. Elle ne dérogea toutefois jamais à sa promesse et resta, malgré tout, toujours première en cours et un peu trop sérieuse pour ses amis. Elle avait un plan de carrière et elle comptait bien s’y tenir. Car s’il y avait une chose qu’elle ne remit jamais en cause, c’étaient les paroles de Vicky.

Elle avait dix-huit ans lorsqu’elle le rencontra. Il entra dans son monde, sans même qu’elle ne s’en rende compte. Il était blessé et peut-être qu’à eux deux, ils réussiraient à panser ses plaies. Helios ne correspondait pas à l’homme de ses rêves. Il n’était ni riche, ni influent. Il ne lui offrirait pas cette place au soleil, loin de tous les tracas quotidiens, à laquelle elle aspirait. Mais il y avait quelque chose dans son regard, dans son sourire, qui faisait chavirer son cœur. Alors elle bouscula son planning pour lui. Elle s’autorisa à l’aimer. C’était une parenthèse étrange, dans sa petite vie bien rangée. Mais rien de ce qu’elle faisait ne semblait réussir à le guérir.

Elle l’observa, impuissante, continuer à sombrer chaque jour un peu plus. Jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus. Jusqu’à ce qu’elle soit épuisée de ces nuits blanches à le chercher dans tous les bars de la ville, inquiète à l’idée qu’il ait fait une mauvaise rencontre. Jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus de le récupérer dans des états complètement euphoriques, après s’être injecté n’importe quelle substance dans les veines. Jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus, de ne pas lire dans ses yeux, l’amour qui se reflétait dans les siens. L’aimer n’était plus suffisant. Alors elle le quitta. Elle ramassa les quelques affaires qu’elle avait laissé quand elle passait chez lui ; sa brosse à dent, son sèche-cheveux, son gel douche parfumé ; et elle ferma doucement la porte. Ça ne faisait que quelques mois, il valait mieux arracher le pansement d’un coup sec.

Pourtant, bien qu’elle ait décidé de cette rupture, Effy ne l’accepta pas vraiment. Incapable d’oublier les papillons dans le ventre, le bond que faisant son cœur lorsqu’elle entendait son nom. Et ce fut encore plus douloureux lorsqu’Apolonia surgit dans sa vie. Voilà que l’homme dont elle était éprise, avait déjà donné son cœur à une autre, avant même leur rencontre. Ce fut un coup de poignard supplémentaire.

Effy aurait pu s’arrêter là. Elle aurait dû s’arrêter là. Mais une nouvelle application fit irruption dans sa vie, sans prévenir, une fois encore. D-VICE. Elle s’y inscrit sans vraiment chercher à s’y intéresser. Jusqu’à ce qu’elle tombe sur lui. Sur Helios. En train d’accomplir un défi. C’était complètement insensé. A quoi donc pensait-il ? Il ne se mettait déjà pas assez en danger pour, désormais, accomplir des « missions » de parfaits inconnus ?! Elle ne pouvait pas le laisser continuer ainsi. Elle refusait de le laisser tomber dans les bras d’Apolonia. Elle refusait de le voir se transformer en singe de cirque pour une poignée de dollars. Elle devait l’aider à retrouver la raison.





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Léo N. Abberline
Léo N. Abberline
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— Un pochon de beuh
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— Quelques pièces
— Un téléphone portable
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Léo N. Abberline
Jeu 13 Avr - 1:21
@MISFIT
https://ftyogi2.kanak.fr
ici un autre message, juste histoire de faire un petit test
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